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 Milo Jacob Reece •

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AuteurMessage
Milo J. Reece
Milo J. Reece

• Messages : 216
• Date d'inscription : 25/08/2010
• Age : 27 Ans
• Camp : Hey, Teachers!
• Etudes : Prof de Stylisme et Photographie



Milo Jacob Reece • _
MessageSujet: Milo Jacob Reece •   Milo Jacob Reece • EmptyJeu 2 Sep - 11:52

••• « Fiche d'Identité »

• Milo Jacob;
REECE •
    • Âge :
      27 Ans

    • Date & Lieu de Naissance :
      Le 09 Juillet à Londres

    • Origine(s) :
      Anglais

    • Statut :
      [] En Couple - [X] Célibataire

    • Orientation :
      [X] Hétéro - [(x)] Bi - [] Homo


    • Enseigne :
      Stylisme et Photographie

    • Camp :
      "Hey, Teachers!"



Milo Jacob Reece • Ben%20barnes%205
Ft. Ben Barnes


    ••• « Dis-moi d'où tu viens...»
    A sa naissance dans une clinique miteuse de Londres, rien ne laissait présager que ce garçon allait avoir une vie telle qu’elle est écrite ici. Il fut abandonné quelques jours après son premier cri, sa mère ne pouvant pas assumer ce bout de chou à seize ans tout frais. Déposé devant l’orphelinat qui le recueillit, il n’était accompagné que d’un bout de papier sur lequel était inscrit ;

    « Son nom est Milo. Prenez-en soin, merci. »
    Rien de plus.
    Durant des semaines, sa famille fut recherchée. Peut-être y avait-il un moyen de faire revenir la mère sur sa décision ou de le déposer dans sa vraie famille plutôt que d’en faire tout de suite une pupille de l’état à adopter. Car la vie d’un enfant abandonné, même au sein d’un nouveau foyer, n’est pas des plus faciles. Mais les recherches n’aboutirent pas. Sûrement sa mère le vit de nombreuses fois aux informations ou dans les journaux, mais elle ne se manifesta pas. Jamais il ne la revit, et jamais de sa vie il ne chercha à la revoir. Il demeura donc dans l’orphelinat, attendant de nouveaux parents, durant six longues années de solitude durant lesquelles il connut Joshua. Celui-ci devint son meilleur ami, des inséparables.

    Friedrich Reece et son conjoint Pete Clarks étaient des symboles de la lutte contre l’homophobie. L’un des couples gay les plus célèbres du monde occidental et sûrement parmi les plus excentriques de par leur attitude extravertie et leurs paroles claquantes.
    Clarks était à la tête de BSS (the Bank Security System) et le créateur du programme a.n.g.e.l qui était utilisé par plus de la moitié des banques américaines de l’époque ; il avait à ses pieds un véritable empire de technologie et d’informatique qui le rendait millionnaire.
    Reece, lui, avait fondé la marque Bright en association avec Giorgio Armani. Il récoltait un franc succès ; pour preuve, l’entreprise faisait depuis peu partie des nouveaux grands noms de la mode en plein essor.
    Leur union, datant d’il y a six ans, avait refait éclater le débat sur le mariage homosexuel. Et après ce premier combat, ils décidèrent d’avoir leur propre enfant. La nature ne leur permettant pas, il durent en adopter un. C’est ainsi que le destin de Milo croisa le leur.
    Le couple déclara de nombreuses fois à qui voulait l’entendre qu’ils avaient eu un véritable coup de foudre pour le petit garçon. Ils ne mirent pas bien longtemps avant de s’exhiber avec lui, faisant la une de magazines. Alors que Milo attendait une famille, il trouvait une notoriété dont il ne voulait pas ; il devint lui aussi un emblème de la communauté gay sur lequel reposaient de nombreux espoirs. A lui seul, il devenait l’héritier de deux empires. Recce rebaptisa même sa marque M.i.l.o en son honneur. Mais une foule de questions se posaient autour de lui ; quelle vie aura-t-il avec deux pères ? Comment l’assumera-t-il ? Et quelle voie prendra-t-il ; mode ou informatique ?

    Malheureusement pour Parks, Milo n’avait aucun don pour la manipulation de programmes complexes. Son talent reposait bien plus dans ses mains et dans son esprit créatif, et lorsqu’il mit ce talent à la disposition de la marque éponyme de son ‘père’, celle-ci remporta un succès inattendu.
    Milo avait conçu lui-même et aidé à la création de quelques modèles de la collection automne-hiver présenté à Paris cette année là. Une véritable surprise, remplie de modèles détonants. A partir de ce jour, son nom fut ajouté au palmarès des étoiles montantes de la mode alors qu’il venait d’avoir dix-huit ans et un bac littéraire tout neuf.
    Pourtant, auparavant, ce n’était pas qu’en bien que Milo avait fait parler de lui. Traqué par les photographes depuis l’enfance, il était normal qu’il pète un plomb une fois de temps en temps. Car il était le fils d’un couple gay anticonformiste, pressenti comme un futur Mozart de la mode, jeune et pas moins séduisant, il n’en fallait pas plus pour en faire une cible des tabloïdes qui réussirent à le faire figurer dans leurs pages à quelques reprises. En effet, le jeune homme atterrit plusieurs fois au poste de police avec son vieil ami Joshua. Jamais ils n’avaient perdu la trace l’un de l’autre à travers les années et ils faisaient les quatre cent coups ensemble, toujours aussi soudés. Leurs arrestations avaient de diverses raisons comme la conduite en état d’ivresse ou l’agression de photographes. Et ils furent mémorablement pris en photo la fois où ils furent sortis de force d’un night club, escortés par la sécurité de l’établissement.
    A cette époque, Milo était vu comme l’ombre d’un voyou, un jeune garçon violent –mais bien sapé- et la déception de la décennie pour la communauté homosexuelle. Il décida donc de se rattraper, de se prendre en main. C’est ainsi que ce défilé à Paris devint l’occasion pour lui de montrer ces changements, d’arborer un nouveau visage.
    Toujours souriant sur le podium et salué par la critique, il créa la surprise alors que sa famille amorçait doucement sa descente en enfer.
    Une descente qui ne sembla jamais l’atteindre, à le voir sur les photos. Mais derrière le rideau se cachaient des crises dans le couple Recce/Parks, un début de problèmes financiers et la perte de l’amitié de Joshua. Les disputes entre ses parents amena même Friedrich à immoler les jambes de son compagnon. Celui-ci connaissait des pertes d’argent au sein de BSS qui mettaient l’entreprise à mal. Puis Josh sembla être jaloux et mettre tout en œuvre pour pourrir la vie de son ‘ami’ pour des raisons qu’il ignorait; l’amitié se brisa pour faire place à une bataille sans merci entre eux avant qu’ils ne se parlent plus du tout.
    Et tout cela était dissimulé par le sourire de Milo qui ne s’effaçait jamais.

    Deux ans plus tard, Milo signa sa première collection complète sous la marque de son père et lui offrit un regain de sa renommée en baisse.
    Il se lança dans une foule de projets qui l’amenèrent aux Etats-Unis, après la publication d’une autobiographie sur ses vingt premières années de vie ; « Step 1 ».
    Installé en Californie, Milo s’engagea dans l’industrie cinématographique, ce qui était son rêve depuis toujours. Il créa les costumes de quelques grosses productions, afin de changer d’air comme il le disait. L’un de ses caprices lui fit même obtenir l’autorisation de signer la chanson du générique de l’un de ces films.
    Entre la mode, l’écriture et le chant, rien ne semblait pouvoir l’arrêter. Et tout lui réussissait, malgré la pression qu’il s’imposait. Il était chanceux et heureux, que demander de plus ?

    Pour ceux qui sont persuadés que tous les stylistes hommes sont homosexuels, Milo fait office d’exception qui fait la règle. Après quelques essais de relations avec des hommes, il se tourna vers la gente féminine et se fiança… Trois fois.
    La première fut avec l’un de ses mannequins favoris, le genre blonde aux longues jambes. Son nom était Olivia Lewis, et elle fut de celles qui dura le moins longtemps au bras du jeune homme ; puis rompirent deux mois après l’annonce des fiançailles. Et on ne la revit plus sur les podiums de Milo.
    La seconde, Liz Hart, était comédienne. Une Irlandaise qu’il rencontra sur le tournage de l’un des films auxquels il participait. Et jouait terriblement bien, ce qu’il vit bien vite. Leur histoire prit fin six mois après sa demande. Ils coupèrent totalement les ponts.
    La dernière était la plus jeune ; une inconnue du monde de la presse, une fille comme vous et moi, banale, nommée Devon. Pour tous, la troisième était la bonne. Milo était fou amoureux, et cela se voyait ; cette fois la date du mariage était fixée. Tout était prêt, tout était parfait. Et pourtant, la demoiselle planta Milo devant l’autel avec un simple mot pour expliquer cette fuite.

    « J’ai encore trop à vivre. Pardon. Je t’aime. »
    A cet instant, la vie du jeune homme connut une chute vertigineuse. Le sort sembla s’acharner sur lui, lui sautant dessus jusqu’à l’enterrer six pieds sous terre.
    L’Angleterre le rappela définitivement quelques mois après s’être pris la veste du siècle, cette fois pour l’enterrement de Pete Parks.
    Voilà un an que BSS avait mit la clé sous la porte suite à un dernier bilan catastrophique. Mais suite à cela, l’ancien créateur de la société fut atteint d’un cancer foudroyant qui ne lui laissa pas plus de six mois à vivre. Et Milo n’était même pas au courant.
    La fin de vie de Pete était une torture pour celui-ci. Tant et si bien que Recce se décida à l’euthanasier, malgré la loi l’interdisant. Cela le conduisit derrière les barreaux. Milo fut donc seul pour enterrer l’ombre d’une famille qui ne semblait plus exister. A nouveau, il se sentit abandonné. Pour cette raison, il demeura quelque temps à l’ombre, le temps qui lui fallait pour savoir ce qu’il allait faire désormais. Chose peu facile vu la taille de la dette laissée par Parks. Sans compter ses ennuis judiciaires. Car le sort n’en avait pas terminé avec lui et lui avait réservé une dernière surprise ; un heureux événement qui devint un véritable cauchemar.
    En effet, son ex-fiancée, Liz Hart, avait caché sa grossesse jusqu’à ce jour et accoucha dans le dos de Milo d’une petite fille, Gabrielle, dont elle déclara qu’il était le père. Et désormais, c’était à lui de payer. Littéralement. Dix mille livres par mois.
    Ayant été un enfant abandonné, Milo ne voulut pas faire à sa propre fille ce que lui-même avait connu et l’ignorer. Il ne pouvait pas faire comme si elle n’existait pas. Il la voit donc un week-end sur deux et tente d’être le meilleur père possible, même s’il a bien du mal.
    Alors qu’il avait été le plus discret possible à ce sujet, l’affaire éclata au grand jour quand il fut prit en photo avec Gaby. Et lorsque les questions fusèrent, il ne pu dire que la vérité. Aujourd’hui, son objectif est de faire en sorte d’éloigner le plus possible sa fille de cet univers de photographes ; là aussi, il ne veut pas qu’à quatre ans à peine elle devienne une excuse pour remplir les tabloïdes.

    La période d’ombre prit fin l’an dernier, là où l’âge d’or avait commencé, soit à Paris. Les collections de cette année remportèrent un franc succès. Mais il avait annoncé que cette année serait la dernière avant cinq ans puisqu’il décida de se ‘ranger’ durant ce laps de temps. Il venait d’être embauché comme professeur dans une Université de Paris.
    Passer de créateur à prof, voilà du changement radical, certes, et l’on ne s’improvise pas enseignant comme ça, mais le défi n’était pas impossible.
    Le voilà donc à la veille de sa seconde année d’enseignement. Proche de ses élèves tout en assurant un cours dit ‘de qualité’, il prouva l’an passé, malgré le drame qui se déroula dans l'établissement, qu’il était capable d’assurer ce poste tout en signant quelques modèles de temps en temps. Il compte bien garder ce rythme cette année.
    Lui, il n'est pas le plus affecté par le meurtre de l'année dernière. A vrai dire, il ne connaissait aucun des deux élèves. Il ne prétend pas enquêter; sa vie a assez eu de chamboulements comme ça pour qu'il se mêle de ce genre d'affaires. Mais il appréhende les conflits entre les élèves, et leurs histoires de camps. Sauf que cela n’est rien face au retour de Devon, sa troisième fiancée, et de Joshua, son "vieil ami", dans sa vie…



    ••• « Dis-moi qui tu es...»
    Les épreuves imposées par la vie font notre caractère, nous forgent dit-on. Et pourtant, malgré quantité d’erreurs qui auraient dû le faire changer, Milo a toujours été fidèle à lui-même, gardant la même personnalité depuis des années. Cela ne veut pas dire qu’il n’a pas évolué ; comme tout le monde, il a gagné en maturité et en expérience avec les années. Il n’est plus du genre à se faire virer de boîte par la sécurité désormais. Mais jamais il ne modifia ce qui fait qu’il est lui pour une raison ou une autre qu’on lui aurait imposées, que ce soit la vie ou quiconque d’autre.
    Alors, depuis des années, peut-être même depuis toujours, c’est un incorrigible charmeur qui possède quelques bon atouts pour arriver à ses fins ; doté d’un certain charisme et d’une grande sincérité, le jeune homme est une personne attachante. De ceux dont on ne sait jamais si on les adore ou bien si on les hait, car il peut-être aussi adorable qu’insupportable.
    Un certain nombre de ses défauts font ses qualités sur certains points. Par exemple, c’est quelqu’un de franc qui dit souvent ce qu’il pense. Détestant l’hypocrisie, il s’impose donc de ne l’être qu’en cas de nécessité. Mais cette franchise peut parfois lui mettre des gens à dos en les blessant sans le vouloir. D’autre part, son entêtement fait partie de ses grandes caractéristiques. Pour lui, un non n’est pas une réponse, ce qui fait de lui une personne qui ne lâche jamais rien, quitte à parfois être insupportable. Mais pour parler de ses véritables qualités, il faut dire que Milo est très fiable et ne lâche jamais personne, sauf si celle-ci se fout de lui comme Liz l’avait fait. Pourtant, c’est un gars plutôt patient et pas bien rancunier. Alors, si jamais il vous raye de sa vie, c’est vraiment qu’à ses yeux vous avez trop abusé de lui. Et quand il vous ignore, ce n’est pas à moitié. On ne découvre terriblement je m’en foutiste, mais cela n’est qu’une attitude pour se protéger ; il préfère faire comme si ceux qui l’ont blessé n’avaient jamais existé afin de ne plus y penser. Mais il n’y a pas que dans ce cas-là qu’il fait preuve d’un tel détachement. En fait, la plupart du temps, il ne trouve pas un grand intérêt pour grand chose à part lui-même, sa passion –c’est à dire le stylisme-, et son entourage. Mais ce n’est pas flagrant. Il essaye de ne pas le montrer afin de ne pas avoir l’air plus orgueilleux qu’il ne l’est déjà. Il ravale sa fierté, sortant depuis peu de temps de sa dure période d’ombre qui lui a appris à avoir un minimum de modestie. Néanmoins, il est resté le grand sarcastique joueur qu’il a toujours été. C’est ainsi qu’il a toujours esquivé ce qu’il ne veut pas affronter, que ce soit une simple question comme toute une situation difficile. Le tout avec un sourire qui ne quitte que rarement son visage, rendant pratiquement impossible de savoir s’il va bien ou non. Mais, de toute façon, il est rare que Milo aille vraiment mal, puisqu’il est un indécrottable optimiste, frôlant parfois l’idéalisme. Par ailleurs, c’est un sacré rêveur qui a toujours eu son monde à lui, comme un parallèle à la réalité dans lequel il se sent mieux, et là où il est difficile de se faire une place concrète. Car le jeune homme a beau être sociable, il n’en demeure pas moins incapable de réellement s’attacher à quelqu’un au delà de la simple amitié –et encore. Sa peur de l’abandon est trop fort, et de plus il tient à sa totale indépendance, ce qui n’est pas facile quand on est père.
    Trop souvent on le vit comme un fils à papa vivant sur l’argent de ses parents alors que tout cela était faux ; lui seul gagnait l’argent qui le faisait vivre, et ce depuis toujours.
    Il a toujours été plein d’ambitions, d’envies impulsives, et toujours assez débrouillard pour en réaliser la plupart, quitte à casser des règles. De toute manière, il a les règles en horreur. Il n’a pratiquement jamais été complètement dans les rangs et semble rarement sérieux –même si cela arrive bien plus souvent qu’il n’y parait. Après tout, Milo est doté d’une certaine intelligence, plutôt de l’ordre du génie créatif, Autant le dire, il est doué et réussit dans pratiquement tout ce qu’il entreprend puisqu’il se donne à fond comme le passionné qu’il est. Il ne semble butter que sur la fibre paternelle.



    ••• « Dis-moi à quoi tu ressemble... »
    Milo est, pour résumer, un beau garçon. Forcément; qui pourrait être charmeur à succès sans une certaine esthétique? Lui, il a la chance d'en avoir. Ne pas être au goût de tous l'importe peu, tant qu'il est de celui de ces demoiselles.
    Le jeune homme est assez grand. Du haut de son mètre quatre-vingt-trois, il possède la corpulence allant de paire avec cette taille. Il prend soin de lui quand il a le temps, ses muscles sont donc juste légèrement dessinés et lui donnent un faux air de maigrichon: attention à ne pas le sous-estimer! Quand il s'emporte, ça fait mal.
    Il garde ses cheveux bruns profond à une certaine longueur. Il les coupe comme une fois tous les deux ans, souvent sur un coup de tête, parce qu'il a envie de changer. Sa coiffure, c'est son délire quand il s'ennuie: souvent avec un bonnet sur la tête quand il faut être à l'extérieur un jour de vent, il la sculpte avec du gel histoire de faire original, l'attache en queue quand l'envie lui prend...
    Ses yeux sont d'un noir extrêmement profond, terriblement envoûtants et manipulateurs: il vous fixe et il vous devient presque impossible de dévier le regard. Oui, il sait user de son regard: il prend des tournures mystérieux quand il le veut, et déshabille littéralement (xD). Aussi analytique, ses pauvres élèves sont parfois très stressés lorsqu'ils voient dans sa pupille un trop grand sérieux, signe d'insatisfaction ou de colère. Son regard parle pour lui à vrai dire, et, quand on le connait bien, il arrive qu'il n'ai plus besoin des mots pour s'exprimer.
    Le reste de son visage possède des traits doux et harmonieux. Une petite fossette creuse son menton et lui confère un air plus sérieux qu'il ne l'est. Il se laisse souvent pousser la barbe deux-trois jours; il a souvent la flemme de se raser le matin, la tête complètement dans le brouillard, et sinon oublie tout simplement. Mais au pire, cela ne lui va pas trop mal.
    Au niveau vestimentaire, Milo opte pour les habits simples, lui confèrent soit un air classe, soit un air décontracté. Une chemise ou un T-shirt sur un jean, et le tour est joué! Il aime bien arborer la veste en cuir aussi, matière qu'il affectionne beaucoup. Mais jamais il ne porte de ses propres créations.



••• « Derrière l'Ecran »
    Milo Jacob Reece • 2kms88
      • Pseudo/Prénom: Léa, le Poisson Rouge =3
      • Âge: 16 Bougies
      • PV ; Scénario ; Inventé
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